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    * Désolée. Votre mot de passe doit contenir une lettre majuscule, deux nombres, un symbole, un message inspirant, une incantation, un signe de gang, un hiéroglyphe et le sang d'une vierge.


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  • Au bout du pré. Présentation de la jardinière qui s'occupe du vieil arbre, moi, du blog, de ma philosophie, de pourquoi l'arbre il est vieux et de comment on fait les bébés. La seule partie garantie 100% perso. Hé oui, le reste du temps, je te laisserai imaginer quelle est la part de réalité, et même s'il y en a une...

    Les racines. Le vieil arbre est vieux *huhu* et a donc plein de choses à raconter sur ce qu'il a vécu et ce qui l'a forgé. Un pot-pourri de musiques, de livres, de films... Attention, ce ne sera pas une série de critiques, juste ce que j'aime. Parce que j'ai envie de le partager.

    La sève. J'écris. Je photographie. Assez pour avoir envie de mélanger les deux. Assez pour vouloir le publier quelque part. Cette partie est de loin celle qui est la plus intéressante à mes yeux, c'est pour elle que j'ai voulu faire ce blog. Oups pardon, c'est "celle qui rend le vieil arbre si vivant"! *elle est sève-ère quand elle s'énerve*

    Le vent. A mi-chemin entre le voyage initiatique (ou spirituel) et le voyage autour du monde, un mélange de pensées.

    La pie bavarde. L'énergumène de service, toujours à papoter. Alors là, c'est de la pure déconne. Si tu cherches du sérieux, tu perds ton temps dans cette rubrique. Bah oui, il faut bien se lâcher de temps à autre!

    La forêt. Ici, il s'agit d'un petit coin pour les blogs des autres. Parce qu'un blog n'est rien sans ceux qui lui rendent visite et l'aident à avancer. Dans l'ombre des commentaires, mais tout aussi importants. En plus, c'est là que tu trouveras le forum.

    La fourmi d'or. Le livre d'or quoi.

    En bonus, inceptus. Un projet scolaire que j'ai aimé faire comme aucun autre projet et qui m'a énormément apporté. Originellement publié sur Skyrock, son import sur ce blog devenait urgent puisque l'ancienne plateforme s'est mise en tête de supprimer les blogs inactifs. Je ne remercierai jamais assez le professeur qui m'accompagnait, une personne exceptionnelle qui me manquera beaucoup.

    Le concours. Les écrits des autres, en forme de concours. Pour le fun. 


    17 commentaires
  • C'est pas simple... Je sais depuis des années que je partirai d'ici, mais de se dire que dans quelques mois, ce sera bien réel... Que je vais devoir trier mes affaires, ne garder avec moi que ce qui a beaucoup de valeur et trouver quelqu'un de confiance à qui confier toutes ces choses que je ne pourrai pas emporter ni me résoudre à jeter... Je pensais n'avoir que très peu d'objets auxquels je tenais réellement, et je me retrouve avec cette quantité de trucs qui déborde de partout. Comme si maintenant je savais que je ne reviendrai pas avant longtemps, ou peut-être même jamais, j'avais envie de tout garder pour ne rien oublier. Comme si je n'avais jamais eu le vertige jusqu'à aujourd'hui, mais que c'était simplement parce que je n'avais encore jamais fait face au vide.

     

    Et leur annoncer. Pour de vrai. Finir mes études à l'étranger. Je ne sais pas comment leur dire. Ils le savent pourtant, depuis toutes ces années que j'en parle. Seulement le moment arrive, très bientôt, presque trop vite. Je n'ai pas eu le temps de faire mes adieux, ni aux rares personnes que je vais devoir laisser derrière moi, ni aux endroits qui m'ont vu vivre. Je partirai en laissant là la médiathèque, avec ses chaises dépareillées, ses livres qui datent de tous les siècles, ses fauteuils super confortables, et son wifi bizarre. J'oublierai les bancs du parc où l'on s'est rencontrés, le cabanon, les îles et mon hamac.

     

    Comment raconter? Comment ne pas oublier? J'ai peur. Et si je n'avais plus envie de partir?


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  • Ce que la science a mis des millénaires à comprendre, l’œil d'un enfant le saisit en un regard. Il observe autour de lui et ne voit que des choses qui bougent, dansent, virevoltent. La lente et harmonieuse valse des objets qui l'entourent le fascine. Parfois, il penche la tête, tentant de comprendre quelque chose qui lui échappe. Puis il passe à autre chose, oubliant subitement ce qu'il venant de contempler un instant plus tôt. La vie tout entière se compose de moments mouvants faiblement rattachés les uns aux autres par la mémoire de ce petit être.

    Le mouvement, quel qu'il soit, restera à jamais la seule chose constante et immuable. La netteté n'est qu'une erreur de la nature, une bêtise de l'homme parmi tant d'autres, un stupide accident de parcours en plus.

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    Ce que la science a mis des millénaires à comprendre, l’œil d'un enfant le saisit en un regard. Il observe autour de lui et ne voit que des choses qui bougent, dansent, virevoltent. La lente et harmonieuse valse des objets qui l'entourent le fascine. Parfois, il penche la tête, tentant de comprendre quelque chose qui lui échappe. Puis il passe à autre chose, oubliant subitement ce qu'il venant de contempler un instant plus tôt. La vie tout entière se compose de moments mouvants faiblement rattachés les uns aux autres par la mémoire de ce petit être.

    Le mouvement, quel qu'il soit, restera à jamais la seule chose constante et immuable. La netteté n'est qu'une erreur de la nature, une bêtise de l'homme parmi tant d'autres, un stupide accident de parcours en plus.

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  • Ce que la science a mis des millénaires à comprendre, l’œil d'un enfant le saisit en un regard. Il observe autour de lui et ne voit que des choses qui bougent, dansent, virevoltent. La lente et harmonieuse valse des objets qui l'entourent le fascine. Parfois, il penche la tête, tentant de comprendre quelque chose qui lui échappe. Puis il passe à autre chose, oubliant subitement ce qu'il venant de contempler un instant plus tôt. La vie tout entière se compose de moments mouvants faiblement rattachés les uns aux autres par la mémoire de ce petit être.

    Le mouvement, quel qu'il soit, restera à jamais la seule chose constante et immuable. La netteté n'est qu'une erreur de la nature, une bêtise de l'homme parmi tant d'autres, un stupide accident de parcours en plus.

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  • Ce que la science a mis des millénaires à comprendre, l’œil d'un enfant le saisit en un regard. Il observe autour de lui et ne voit que des choses qui bougent, dansent, virevoltent. La lente et harmonieuse valse des objets qui l'entourent le fascine. Parfois, il penche la tête, tentant de comprendre quelque chose qui lui échappe. Puis il passe à autre chose, oubliant subitement ce qu'il venant de contempler un instant plus tôt. La vie tout entière se compose de moments mouvants faiblement rattachés les uns aux autres par la mémoire de ce petit être.

    Le mouvement, quel qu'il soit, restera à jamais la seule chose constante et immuable. La netteté n'est qu'une erreur de la nature, une bêtise de l'homme parmi tant d'autres, un stupide accident de parcours en plus.

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  • L'appel de la route était le plus fort. Les chemins capricieux le menaient où ils le désiraient. Un pas après l'autre, il se rapprochait de cet idéal auquel il aspirait depuis tant d'années. Le passé lui revenait par bribes, inconscient des remords qu'il lui laissait. Peu à peu la fatigue l'emporta. Il s'endormit lentement, sans peine ni douleur.

    La mort, dans un sursaut d'espoir, lui avait ravi son souffle tiède. Il paraissait dormir, enfin paisible.

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  • L'appel de la route était le plus fort. Les chemins capricieux le menaient où ils le désiraient. Un pas après l'autre, il se rapprochait de cet idéal auquel il aspirait depuis tant d'années. Le passé lui revenait par bribes, inconscient des remords qu'il lui laissait. Peu à peu la fatigue l'emporta. Il s'endormit lentement, sans peine ni douleur.

    La mort, dans un sursaut d'espoir, lui avait ravi son souffle tiède. Il paraissait dormir, enfin paisible.

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  • L'appel de la route était le plus fort. Les chemins capricieux le menaient où ils le désiraient. Un pas après l'autre, il se rapprochait de cet idéal auquel il aspirait depuis tant d'années. Le passé lui revenait par bribes, inconscient des remords qu'il lui laissait. Peu à peu la fatigue l'emporta. Il s'endormit lentement, sans peine ni douleur.

    La mort, dans un sursaut d'espoir, lui avait ravi son souffle tiède. Il paraissait dormir, enfin paisible.

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  • L'appel de la route était le plus fort. Les chemins capricieux le menaient où ils le désiraient. Un pas après l'autre, il se rapprochait de cet idéal auquel il aspirait depuis tant d'années. Le passé lui revenait par bribes, inconscient des remords qu'il lui laissait. Peu à peu la fatigue l'emporta. Il s'endormit lentement, sans peine ni douleur.

    La mort, dans un sursaut d'espoir, lui avait ravi son souffle tiède. Il paraissait dormir, enfin paisible.

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  • L'appel de la route était le plus fort. Les chemins capricieux le menaient où ils le désiraient. Un pas après l'autre, il se rapprochait de cet idéal auquel il aspirait depuis tant d'années. Le passé lui revenait par bribes, inconscient des remords qu'il lui laissait. Peu à peu la fatigue l'emporta. Il s'endormit lentement, sans peine ni douleur.

    La mort, dans un sursaut d'espoir, lui avait ravi son souffle tiède. Il paraissait dormir, enfin paisible.

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